Le dimanche le temps était idéal pour courir un marathon. Il a même plu un peu sur la fin du parcours, mais très fin. Le circuit nous a fait passer par la ville, puis par la Menara, un quartier très pauvre où les gens nous acclamaient et par la palmeraie où par contre le contraste est flagrant. C'est là qu'on trouve sans doute les plus belles villas. Malgré les efforts de la police et des militaires tout au long du parcours, on se rend vite compte qu'il est dangereux de courir dans cette ville, surtout au passage des rond-points. Les véhicules en tout genre gardent la priorité et se soucient guère des marathoniens qui courent sur des routes non fermées. L'arrivée est sur une allée où l'on voit au bout la Koutoubia.
- Fernand a mis 4h24'
- Jean-Marc 3h11'
- Moi 3h01'